« Jusqu’à l’âge canonique que j’ai le privilège d’atteindre, le dessin et la peinture ont été un dérivatif qui a agrémenté ma vie tant familiale que professionnelle, bien que celle-ci fût axée dans des domaines différents. »
Plutôt d’appartenance figurative, Edmond-Jacques admire les peintures flamandes ou d’écoles françaises traitant, comme Le Nain, Corot ou de la Tour, des scènes de la vie et des paysages ruraux.
Sa vie partagée entre la Provence, le Limousin et Paris, l’a conduit à aimer reproduire par le dessin, entre autres, des aspects, des sites, de ces différentes régions, comme aussi des vues typiques du vieux Paris, et de ses aspects actuels à travers les rues, monuments ou évènements qui font la richesse de son patrimoine.